Fiche de lecture : Le dernier jour d’un condamné
Titre de l’œuvre : Le dernier jour d’un condamné.
Auteur : Victor Hugo.
Siècle : le 19ème siècle.
Date de parution : 1829.
Genre littéraire: Roman à thèse.
Forme narrative apparentée : Récit à la première personne « je ». Ressemblance limitée avec un journal intime.
Type de texte : Narratif et argumentatif.
Le narrateur : Un condamné à mort.
Nombre de chapitre : 49 chapitres.
Lieux de séjour du condamné : la prison de Bicêtre – La conciergerie – l’Hôtel de Ville.
Indices de l’énonciation : Pronom personnel « je », adjectifs possessifs « ma… »…
Thèse défendue : L’abolition de la peine de mort
Registres : Le pathétique — Le tragique — Le lyrique
Portrait physique du condamné : Jeune, sain et fort.
Situation familiale : Il est marié – Père d’une fille de 3 ans. Il a une mère âgée de 64 ans.
Situation sociale du condamné : Instruit, éduqué, appartient probablement à la bourgeoisie (redingote, chemise de batiste).
Crime commis : Crime de sang.
Prénom de sa fille : Marie.
Type de phrase du texte : Phrases affirmatives, phrases interrogatives et exclamatives.
Phrases interrogatives : Rhétoriques : des fausses questions auxquelles, on n’attend pas de réponses.
Figures de style : Des métaphores, des comparaisons, des antithèses, des hyperboles, des anaphores, des gradations, …
Arguments contre la peine de mort : 1-Dieu donne la vie, lui seul peut la reprendre. 2-On peut exécuter un innocent. 3-la peine de mort n’a pas un caractère dissuasif
Lieu de l’exécution : La place de Grève.
Durée de séjour en prison : Six (6) semaines
Le dernier jour : À partir du chapitre 18.
L’annonce du dernier jour : Six heures.
Heure de l’exécution : Quatre heures.
Point de vue ou focalisation : Point de vue interne.
Attitude des personnages : Indifférence à la souffrance du condamné.
Champs lexicaux : Champ lexical de la mort, de la captivité, de la cruauté, de la laideur, de la souffrance…
Sentiments du condamné : Désespoir, peur et colère…
Visée du texte : Visée argumentative : Plaidoyer contre la peine de mort.
Pourquoi le condamné écrit-il ? : 1) Pour se soulager. 2) Pour moins souffrir et oublier ses angoisses. 3) Donner une leçon aux juges qui hésiteront à condamner…